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Prescription

Prescription d’activité physique

Le contexte

L’activité physique réduit de façon significative la mortalité, notamment par cause cardiovasculaire. Certaines études retrouvent une diminution de la mortalité pouvant aller jusqu’à 60-70 % chez les personnes ayant une activité physique régulière même modérée par rapport aux personnes n’en pratiquant pas ou très peu. Chez les patients atteints de cancer, de nombreuses études ont démontré une diminution significative de mortalité globale et de récidive chez ceux pratiquant une activité physique régulière.

Au-delà, il importe de lutter contre la sédentarité car elle augmente significativement la mortalité, indépendamment de la pratique régulière d’une activité physique.

Depuis le 1er mars 2017, l’activité physique peut être prescrite pour les patients en ALD. Les professionnels de santé (kinésithérapeutes, psychomotriciens, ergothérapeutes), les titulaires d’un diplôme en activité physique adaptée et les professionnels certifiés par les fédérations sportives sont aptes à la dispenser.

Elle n’est pas remboursée par l’Assurance-maladie mais certaines collectivités locales et mutuelles proposent une participation financière.

Comment faire en pratique ?

La prescription n’est pas une fin en soi. L’objectif est d’abord la promotion d’une activité physique régulière et la lutte contre la sédentarité. Pour cela il faut commencer par évaluer avec le patient ses activités physiques quotidiennes, quelles qu’elles soient : on estime qu’elles ont un impact si elles induisent un léger essoufflement et un peu de transpiration. Il faut ensuite faire le point sur les capacités du patient, l’idéal étant de s’appuyer sur les techniques de l’entretien motivationnel : questions ouvertes à privilégier pour laisser le patient trouver de lui-même les solutions qui lui sont acceptables. Il ne faut pas hésiter à expliquer les bénéfices attendus, à court et à long termes.

Il faut bien sûr tenir compte des limitations du patient. Un certificat d’absence de contre-indication à la pratique du sport peut être nécessaire, précédé si besoin d’un ECG ou d’une épreuve d’effort par exemple, selon le profil du patient. En pratique peu de pathologies sont de réelles contre-indications à toute activité physique.

  • Si le patient présente des limitations fonctionnelles sévères on privilégiera l’activité physique avec des professionnels de santé (kinésithérapeutes, ergothérapeutes et psychomotriciens).
  • Si le patient présente des limitations minimes, on pourra lui prescrire « activité physique sur prescription médicale » avec un animateur du sport souhaité (à préciser sur l’ordonnance)

À l’occasion de la prescription, le médecin généraliste pourra évaluer le degré de handicap de son patient selon les 13 critères listés dans le décret du 30 décembre 2016. Pour en savoir plus.

Où adresser le patient ?

L’idéal est de se renseigner autour de soi sur les professionnels aptes à réaliser l’activité sportive sur ordonnance. Certaines régions proposent une information centralisée, comme par exemple en Ile de France.

Pour les professionnels de santé, le plus simple est de contacter son réseau habituel.

Pour les animateurs et professionnels de l’activité physique adaptée, le guide medicosport présente plusieurs fédérations sportives qui ont formé des enseignants pour le sport sur ordonnance, avec souvent des annuaires pour trouver des clubs habilités dans la région.

Le patient peut aussi se renseigner auprès de la mairie ou de clubs sportifs près de chez lui.


Bibliographie

  • Effets bénéfiques de l’activité physique et sportive en prévention primaire et tertiaire, DUCLOS M, 2020
  • Décret n° 2016-1990 du 30 décembre 2016 relatif aux conditions de dispensation de l’activité physique adaptée prescrite par le médecin traitant à des patients atteints d’une affection de longue durée
  • HAS : Promotion, consultation et prescription médicale d’activité physique et sportive pour la santé (description précise de la consultation de prescription d’activité physique adaptée et guides adaptés à chaque pathologie
  • Formulaire de prescription d’activité physique adaptée
  • juillet 17, 2020
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Non-substituable : nouvelles règles au 1er janvier !

Depuis le 1er janvier, les règles de non-substitution des médicaments par des génériques ont changé (des suites du décret du 12 novembre 2019).

D’abord un point positif : la mention « non substituable » n’a plus l’obligation d’être écrite de manière manuscrite.

Il ne persiste que 3 justifications à la mention « non substituable » sur l’ordonnance :

  1. Médicament à marge thérapeutique étroite (anti-épileptiques, levothyroxine, buprénorphine, immunosuppresseurs anti-rejets*) = MTE
  2. Galénique adaptée aux enfants de moins de 6 ans = EFG
  3. Contre-indication formelle ET documentée à un excipient à effet notoire présent dans tous les génériques existants (liste restreinte**) = CIF

Il doit être fait mention de la raison du refus de substitution sur l‘ordonnance, à côté de la mention « non substituable », au moyen de la codification en 3 lettres.

* : liste complète dans le décret
** : selon l’USPO, seraient concernés CELESTENE, CONCERTA, DAFALGAN CODÉINÉ, DUOTRAV, IMOVANE, LERCAPRESS, NUROFENPRO (enfant et nourrissons), ORGALUTRAN, SOLUPRED, SPASFON, ZITHROMAX

  • janvier 3, 2020
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Fiche | Contraception des mineures et dispense d’avance de frais

Contraception des mineures | Comment pratiquer la dispense d’avance de frais ?

Le décret du 29 juin 2016, relatif à la participation de l’assuré pour les frais liés à la contraception des mineures d’au moins quinze ans, encadre la pratique du tiers-payant intégral sur un certains nombre d’actes en lien avec la contraception des mineures de plus de 15 ans.

  • septembre 23, 2016
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Prescrire des actes et soins infirmiers en médecine générale

La prescription des actes et soins IDE en médecine générale. Vaste programme et des fois grandes difficultés. Combien de fois les IDE nous rappellent, ou nous demande de refaire l’ordonnance car cela ne correspond pas forcement. L’évolution des pathologies chroniques nécessite une interaction plus forte avec les autres professionnels de santé. En tant que coordonateur des soins de premier recours, le médecin généraliste est le maillon central de la chaîne.

  • juin 14, 2015
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Comment prescrire la kinésithérapie en médecine générale ?

L’évolution des pathologies chroniques nécessite une interaction plus forte avec les autres professionnels de santé. En tant que coordonateur des soins de premier recours, le médecin généraliste est le maillon central de la chaîne. Pourtant, nous avons peu de connaissances des autres professionnels de santé, de leur exercice et de leurs compétences. Il nous arrive souvent de devoir modifier notre prescription initiale car non adaptée.

  • juin 14, 2015
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